« Merci de vos bons vœux, mon cher de Gaulle, et recevez les miens sincères et cordiaux. Vous faites, en ce moment, votre deuxième expérience de chef de corps. Vous êtes en pleine possession de vos moyens et dans une ambiance favorable. Vous devez donc réussir. Je continue à suivre votre carrière avec beaucoup d’intérêt et souhaite de ne pas être déçu. Pour que la chaîne de mes informations ne soit pas rompue venez me renseigner vous-même lorsque vous viendrez à Paris. Vous serez le bienvenu à mon bureau »…
LNC, I, p. 828.