EDMOND COUSTURIER, écrivain et critique (mari de Lucie). 8 L.A.S., 1897-1916 et s.d., à Maximilien Luce ; 24 pages formats divers, qqs en-têtes, une adresse. Paris 14 juillet 1897. Jeanniot pense que le Degas vaut de 1800 à 2000 francs, et le montrerait volontiers à Georges Hugo ; selon Bartholomé, le croquis vaut 1200, 1500 francs au plus. « En attendant, le pastel en question se trouve chez moi »… [Août ? 1914], sur sa difficile reconversion à la vie paysanne : « Comment ferais-je de la peinture ? »… Les Parasols, Fréjus 14 novembre 1914. Ils ont vu dans La Bataille un de ses vigoureux dessins… Réflexions sur la solidarité des ministres (Millerand, Messimy), la « mentalité allemande », la future dislocation de l’Allemagne… Les Parasols 29 septembre 1915, il déplore le « régime de l’horreur sous lequel nous sommes courbés depuis 422 jours »… Nouvelles du « maître », qui « compose avec Stendhal une sorte d’herbier littéraire »… 20 février 1916, nouvelles de Verhaeren, du Maître, qui dit préférer « le talon du Boche » à la guerre, des Duval, de Roussel… Jeudi. Il propose de venir dimanche matin, pour que Luce donne « cinq minutes de travail de plus » aux yeux de son portrait… 12 rue Notre-Dame de Lorette. Signac demande si Luce a envoyé une toile de lui chez Bouteville. Amitiés aux Pissarro, « et songez bien à la pinture »…