26 novembre-4 décembre 189[5]. 26 p. in-8, demi-maroquin brun à coins (Kieffer).
Manuscrit corrigé, signé par Henri de Régnier.
Ces poèmes sont écrits à l'époque de la publication d'Aréthuse et seront publiés dans Les Jeux rustiques et divins en 1897.
La lumière du symbolisme y ait toujours éclairante, une légèreté embuée et désuète que l'on ne saurait oublier…
"Pour la Porte des Marchands. […]
Le soir, comptait et recomptait sa pile d'or,
En partant, et chacun, pour qu'à l'ombre des haies
Les détrousseurs d'argent qui guettent les monnaies
Ne nous attendent point sur la route déserte,
Ô porte ! et pour qu'un dieu fasse nos pas alertes,
Chacun, sans regarder celui qui va le suivre,
Cloue à ton seuil de pierre une pièce de cuivre."