Éragny, 4 décembre 1892
4 p. sur 1 double f. in-8 (20,5 x 13,2 cm)
Lettre autographe signée à son épouse Julie, qu’il entretient de sa vie domestique comme de la vente de ses tableaux par les marchands Joyant et Durand-Ruel : « Je sais que Joyant veut des Renoir connus
comme il en veut de moi en dépôt. Les prix de Renoir sont les mêmes que les miens […] Il y a de l’exagération dans ce que m’écrit Durand-Ruel à propos des prix. La même chose m’arrivera, je n’ai qu’à vendre un certain nombre à Durand, pendant quelques temps on verra rappliquer Joyant qui est toujours en retard. »
Quelques rousseurs, déchirures marginales