6 p. Montmorency, 1953. N'est pas du tout content de la façon dont on a traité son article à paraître dans "La Parisienne" : "Je vous demande de bien vouloir me renvoyer mon papier. Je ne veux pas qu'il paraisse dans votre numéro de juin. Il est beaucoup trop rance maintenant." Souligne que c'est grâce à Marcel Aymé et Jacques Laurent qu'il a quand même eut une réponse. Il s'explique sur sa susceptibilité : "Je vous demande de votre côté de comprendre ceci : j'ai entendu tellement de sornettes, j'ai été abreuvé d'un si grand nombre de promesses sans lendemain depuis ma sortie de prison, que je finis par avoir l'épiderme un peu irritable." Indique qu'il peut signer soit Rebatet soit Vineuil, son pseudo pour les articles sur le cinéma.