Lettre de vœux.
« Tout récemment j’ai vécu avec votre famille en communion de souhaits et de prières, lorsque la bénédiction du bon Dieu s’épanchait sur la branche vigoureuse, qui porte le nom de votre fils Philippe, pousser vers une germination nouvelle qui sera votre honneur et votre consolation. Aujourd’hui il m’est bien agréable de renouveler mes vœux cordiaux pour votre Personne, pour Madame votre si digne épouse, et pour tout ce qui est plus près de votre esprit à l’occasion de ce mystérieux 1948 qui va commencer »…
En tête, de Gaulle a écrit : « J’ai répondu. C. G. »