Poème de jeunesse.
Il est composé de trois sizains (18 vers).
« Quand je devrai mourir, j’aimerais que ce soit
Sur un champ de bataille ; alors qu’on porte en soi
L’âme encor tout enveloppée
Du tumulte enivrant que souffle le combat,
Et du rude frisson que donne à qui se bat
Le choc mâle et clair de l’épée »…
LNC, I, p. 50.
BnF, Charles de Gaulle,n° 26.