26 volumes in-8, demi-veau vert bronze, dos lisses ornés de roulettes et de filets dorés (Reliure légèrement postérieure).

[2] ff., 322 pp., [1] f. ; 326 pp., [1] f. ; [2] ff., 326 pp., [1] f. ; [2] ff., 308 pp., [1] f. ; [2] ff., 323 pp., [1] p. ; [2] ff., 318 pp., [1] f. ; [2] ff., 317 pp., [1] f. ; [2] ff., 311 pp., [1] p. ; [2] ff., 306 pp., [1] f. ; 319 pp., [1] p. ; [2] ff., 317 pp., [1] f. ; [2] ff., 301 pp., [1] f. ; [2] ff., 318 pp., [1] f. ; [2] ff., 311 pp., [1] p. ; [2] ff., 305 pp., [1] f. ; 327 pp., [1] p. ; [2] ff., 305 pp., [1] f. ; 317 pp., [1] f. ; [2] ff., 307 pp., [1] p. ; 299 pp., [1] f. ; [2] ff., 307 pp., [1] p. ; [2] ff., 305 pp., [1] f. ; [2] ff., 300 pp., [1] f. ; [2] ff., 277 pp., [1] f. ; [2] ff., 275 pp., [1] f. ; [2] ff., 292 pp., [1] f.

Le roman le plus touchant de la trilogie des Mousquetaires

Édition originale.

Roman écrit en collaboration avec Auguste Maquet.

Dix ans après… Le roman débute en 1659 par la visite de Louis XIV à Blois. En Angleterre comme en France, la jeunesse prend le pouvoir : Charles II monte sur le trône d’Angleterre en 1660, Mazarin meurt en 1661 laissant un Louis XIV décidé à régner seul… et qui ne va pas tarder à faire arrêter Fouquet son surintendant, un des grands épisodes du roman.

Les quatre amis, comme dans Vingt ans après vont se retrouver mais curieusement deux ou trois à la fois, jamais quatre, Aramis, tenu à l’œil par d’Artagnan, jouant sa propre partie, mentant, se dérobant, manipulant un Porthos aveuglé par son amitié.

Riche de quatre intrigues qui auraient pu constituer chacune un roman séparé, le Vicomte de Bragelonne, quoique le plus touchant – l’amour sans retour de Bragelonne pour Louise de La Vallière qui ne vit que pour le roi, la mort exemplaire d’Athos, de Porthos et de d’Artagnan – est le mal aimé de la trilogie.
Il a trouvé un défenseur en Roger Caillois dans sa longue réponse au questionnaire de Raymond Queneau pour son ouvrage une Bibliothèque idéale : « Sous une rubrique ‘divertissement’, j’ai rangé le Vicomte de Bragelonne que je relis périodiquement, avec un plaisir toujours accru et que je crois parfois un grand roman, infiniment supérieur en tout cas à tous les autres volumes du même auteur et en particulier à ceux de la même série. »

Vicaire III, 381-383 ; Talvart, 93 A ; Carteret, 239 ; Munro, 195.

Dos uniformément passés, très petits frottements aux coiffes et aux coins, rousseurs et taches éparses, petites réparations à quelques rares feuillets. Les feuillets de faux-titre et titre du tome 6 sont en fac-similé.

Rare édition originale de la fin des aventures des mousquetaires.