- H. LEBASQUE. 3 sept. 1916, à Fr. Luce ; 4 pages in-8. "T’as de la veine encore, tu es dans un beau pays, puisque c’est le mien, presque le mien. Mais j’ai habité longtemps Angers, j’y ai fait mon aprentissage, et avant j’étais en pension dans cette ville. Les parents que j’avais n’y sont plus ou sont morts ainsi que mes amis. C’est qu’il y a plus de trente ans que j’ai quitté. J’ai cependant encore (je le crois) un ancien copain nommé Rouault entrepreneur de peinture place du Château […].
- A. TURIN, 10 L.A.S. dont 6 au dos de cartes postales ou de photographies, à Maximilien Luce. Peintre, il exposa au Salon des Indépendants à partir de 1904 ; 15 pages formats divers. Saint-Tropez 18 octobre [1914], dispensé par son âge d’obligations militaires, il s’est mis à la disposition des autorités civiles ; il ne voit guère que Manguin ou Camoin… [1915], il travaille à la mairie du matin au soir, vit en sauvage et se réfugie dans la campagne quand il a un instant de liberté…