(1860-1918) écrivain, premier lauréat du Prix Goncourt. 4 L.A.S. « Torquet », Saint-Tropez 1904 et Puerto de La Orotava (Ténériffe) s.d., à Maximilien Luce ; 10 p. et demie in-8. 10 janvier 1904, il le remercie pour son envoi « que je contemple mélancoliquement en me disant : Il faudra attendre jusqu’au printemps prochain pour remanger du curé avec l’ami Luce ! (Joli propos pour un Jésuite de mon espèce !) »… Nouvelles des amis Signac et de Frédéric Luce… 17 février 1904, remerciements pour des études de Signac et de Cross, parfaitement bien encadrées, nouvelles de Frédéric et amitiés des Signac… 28 décembre 1904, vœux de nouvel an du « vieux et ridicule mais bien affectionné ami »… Il raconte cette « chose hideuse » : il est locataire de la mère d’un ratichon…