Acrylique, crayon, 1997.
51 x 68 cm
D’énormes constructions ovoïdes, alvéolaires évoquent les différentes utopies sociales qui ont traversé l’histoire. La lumière, concentrée d’abord dans la partie inférieure, fait ressortir l’activité du travail, le bourdonnement d’une ruche, l’agitation fébrile d’un essaim. Mais plus on monte dans l’édifi ce, plus la lumière devient froide, plus l’activité se fait solitaire et silencieuse. Certainement une des dimensions de l’utopie la plus difficile à incarner. Cette image, contre toute attente, a été une des plus utilisée pour illustrer le Pavillon des Utopies.