HENRI EDMOND CROSS. 2 L.A.S., [1895], à Maximilien Luce ; 5 pages et demie in-8. « J’ai commencé deux paysages d’après nature, pour comprendre certaines choses ; et puis il y avait si longtemps que je ne m’étais livré à ce genre de travail ! J’y trouve quelques avantages comme l’entraînement à une plus grande variété, mais aussi un inconvénient très grand : une unité moins parfaite. Cela me montre qu’un travail sérieux de révision est très nécessaire à l’atelier après l’étude directe sur nature. Une bonne méthode sans doute (et pas nouvelle) et qu’on peut employer tout en faisant parallèlement d’autres travaux. Je ne veux pas oublier de vous remercier de tous les soins que vous avez apportés au tirage de cette litho »… – Sur la mort du premier fils de Luce : « Vous savez combien nous vous aimons et combien nous pouvons être émus par ce malheur si cruel. C’est vraiment terrifiant ! Pauvre ami ! mais comment ? Lui, si vivant, si robuste ! Nous sentons bien ce que vous devez souffrir, ami, et sommes de tout notre cœur avec vous »…