« Mon cher Capitant, À quoi bon prendre avec moi ce ton ? Où voulez-vous en venir ? Pourquoi altérer vous-même vos possibilités d’action alors que le but à atteindre, quant au problème en question, vous est évidemment connu ?
Je suis, vous devez le savoir, désireux d’accorder ce qui doit l’être. En particulier, je tiens à ce que la commission constituée pour pousser l’affaire capitale que développait votre rapport aux Armées, se réunisse et aboutisse. Mais comment faire si vous-même disparaissez ou ne vous manifestez que par des lettres désobligeantes ? La cause mérite d’être autrement traitée et vous valez mieux que cela »…
LNC, II, p. 1097.
On joint une note autographe du général de Gaulle, 15 décembre [1952] (1 p. in-8 à son en-tête) : « me faire écrire un mot au Gouverneur de la Banque de France qui m’a envoyé une médaille à l’occasion du 150e anniversaire de la Banque ». (Note d’une autre main attachée par ruban adhésif.)