Deux lettres et une carte postale autographes signées de Jean-Baptiste Carpeaux. Dans une lettre à l'avoué Charles Auzoux, il décrit sa situation financière catastrophique, nomme ses créanciers les plus virulents et se plaint que " toutes ces notes sont majorées de façon absolument usuraire. "

On joint :
- un carnet de compte autographe de J.-B. Carpeaux, contenant 3 petites esquisses au crayon et à l'encre (deux mains, deux visages et un personnage les bras croisés).
- un ensemble de lettres et acte dactylographié, autour de la succession de Jean-Baptiste Carpeaux (sa femme Amélie Carpeaux, sa fille Louise Carpeaux, Archambault-Guyot).
- un ensemble de correspondance de la fille de J.-B. Carpeaux, Louise Clément-Carpeaux, avec l'avoué Charles Auzoux (quelques réponses de sa part, parfois sous forme de copies), ainsi que des projets et contrats stipulant les conditions d'édition des œuvres de Carpeaux (" Madame Carpeaux concède à M. Camus le monopole exclusif de la vente des épreuves en bronze des œuvres de son mari "…). L'ensemble comporte également une importante correspondance entre Madame Amélie Carpeaux (née Amélie Clotilde de montfort), M. Charles Auzoux et M. Camus.
- 1 lettre autographe signée d'Auguste Rodin et un ensemble de documents relatifs à Rodin, essentiellement des copies sur papier pelure de lettres adressées par Charles Auzoux à A. Huard, et des lettres autographes signées de ce dernier. Cette correspondance porte sur la demande de remboursement par Rodin de l'argent avancé par le Comité de la Société des Gens de lettres pour la réalisation de la statue de Balzac.