Rédaction des Mémoires d’espoir.
« Mon cher Philippe, Les nouvelles que tu nous donnes me font penser que ta cure te débarrassera décidément des séquelles de l’épreuve de santé que tu as traversée. Ainsi pourras-tu prendre ton nouveau commandement dans les meilleures conditions. D’autre part, j’imagine que ton actuelle solitude est une période de méditation, ce qu’il est excellent de pouvoir vivre par moments dans son existence.
Pour moi, c’est définitivement mon lot en attendant le dernier jour. J’utilise ces loisirs en écrivant d’autres Mémoires, ceux qui se rapporteront à l’époque 1958-1969. C’est un énorme travail. Peut-être aura-t-il pour l’avenir quelque intérêt ? »…
LNC, III, p. 1078.