25 juillet. « Mon gĂ©nĂ©ral, Je vous suis profondĂ©ment reconnaissant de l’attentive sympathie que Madame de Gaulle et vous-mĂªme avez bien voulu porter Ă notre Ă©trange aventure. Les mĂ©decins se dĂ©clarent ravis d’une rechute que j’ai faite en arrivant ici, et qui les a, disent-ils, instruits. La vraie convalescence doit commencer Lundi. Rien, plus que ce que vous me dites, ne peut faire que je dĂ©sire sa fin… »…
7 septembre. Mme Éboué « m’avait écrit, en effet… »