1972 Directeurs : Monique Goldsmith et Frédéric Studeny. In-4 en feuilles rassemblées dans un emboîtage toilé vert, le titre de la revue étant écrit au pinceau sur le dos et le premier plat de l'objet, pages non foliotées. Chacune des œuvres graphiques rassemblées dans ce premier et unique numéro est signée par son auteur. Papiers et typographies divers, dessins, encrages, collages, lithographie, etc. Tirage unique numéroté à 50 exemplaires. Chaque planche est justifiée et signée par l'artiste. Seules les contributions de Monique Goldsmith et d'Isidore Isou sont des textes.
" Le mouvement lettriste " par Monique Goldsmith ; " Logopée linogravée " par Jean-Paul Curtay ; " La bouteille dans tous ses états " par Myriam Darrell ; " Franges indéterminées " par Jacqueline Tarkieltaub ; " Hypergraphie aux deux signes " par Jacques Spacagna ; " Essai d'improvisation Hypergraphique sur un poème de Satié " par Alain Satié ; " Ceci était une très belle hypergraphie " par Roland Sabatier ; " Reproduction de mon espèce " par Jean-Bernard Arkitu ; " Signes de G1 à Gn " par Edouard Berreur ; " Ballets infinitésimaux " par François Poyet ; " Très lente disparition d'un gros signe vert " par Jean-Pierre Gillard ; " Rencontre d'Edith " par Pierre Jouvet ; " Le tout pour le tout " par Micheline Hachette ; " Métécisation géologique " par Gérard-Philippe Broutin ; " Iconographies canalistiques " par Françoise Canal ; " Omégraphie " par Frédéric Studeny ; " Œuvre " par Antoine Grimaud ; " Œuvre " par Patrick Poulain ; " L'aide-mémoire ", collage de Maurice Lemaître (éléments mnémotechniques pour un conte oral à faire, comprenant notamment sa photo d'identité et un chèque " d'un milliard ") ; " Idéographie " par Alain de Latour ; " Clarisse ou Ora " par Isidore Isou.
Très rare et mystérieuse revue qui se voulait la suite de UR et dont il n'y eut qu'un seul numéro.