S.d., signée Raoul Dufy, Ste-Maxime (1941) à Etienne Bignon. Il promet à son marchand de tableaux de lui envoyer ce qu'il demande. Les rhumatismes (qui l'empêchaient de peindre) vont mieux et il espère guérir complètement. "Je suis ici pour quelques jours ici auprès de ma femme toujours assez souffrante, ma santé est bonne, j'espère que les traces de mes rhumatismes continueront de s'effacer au point de disparaitre complètement".