A son frère Louis Boudin. Paris, 1er mai [18]94. 2 p. in-12.
La veille, n'a pas trouvé un instant pour lui écrire, "tellement accaparé. De plus, c'était l'ouverture du Salon et une corvée pour mes vieilles jambes". On sait qu'il a envoyé huyit tableaux au Salon. "Je n'ai pu encore songer à m'échapper pour aller à la campagne. Mais je meurs du désir d'être le plus tôt possible afin de m'y reposer la tête… et le reste". Il charge son frère de diverses commissions.