Eugène DELACROIX. L.A.S., 8 février 1840, à M. de Broë, conseiller à la Cour de cassation ; 2 pages in?8, adresse. Au sujet d’un ami malade. Il s’alarme du triste état de santé de « notre cher Henri. Le médecin en désespère ». Puisque le Dr Breschet l’a traité avec succès, il lui demande si « un homme de cette expérience et en qui vous avez tant confiance ne peut faire beaucoup dans une circonstance extrême. […] Je suis si allarmé de la position d’un si excellent ami, d’un homme qui était lui-même l’exemple du dévouement et que vous aimez autant que moi que je prends la liberté de m’adresser à vous ». Il le prie de convaincre Breschet…