Datée 6 déc. [1991]. Feuille recto [210 x 147], encre bleue. Magnifique lettre lyrique. "Chère Colette, Que je comprends les affres de votre solitude ! En contemplant l'immense silence de ce visage, de cet adieu final, je pense à l'abîme de solitude dans lequel vous êtes plongée. Une seule consolation: le néant pour tous, la vacuité de chaque instant, l'échec de tout ce qui respire, en fait l'éternité sûr de ce qui n'est plus. Je suis de tout coeur un complice de votre abattement."