HENRI LEBASQUE (1865-1937). L.A.S., Le Cannet, à Maximilien Luce ; 2 pages in-12 sur carte photographique de sa villa. Sur la photographie d’« un coin de notre bicoque », il le remercie de leur avoir fait envoyer une invitation de la Maison de France : malheureusement Pierre n’a rien à exposer, et lui-même n’est pas libre : « C’est Schoeller qui a mes tableaux et qui s’en charge »… Quant à la maison G. Petit, « c’est trop embrouillé en ce moment pour y compter »… Ils seraient tous heureux si Luce venait séjourner dans leur « bicoque » : il serait « soigné comme un ange par des amis qui vous aiment de longue date. De la bouillabaisse, des oursins, de la pissaladière […] et Pierre entreprendrait votre portrait en terre »…