ÉLIE FAURE (1873-1937) écrivain et critique d’art. L.A.S., 121 bis rue Notre-Dame des Champs Mardi soir, à Maximilien Luce ; 5 pages et demie in-12 (un peu salie). À propos d’une tombola : « le tableau de Bochard a été gagné par Mme de Brouckère (de Berlin). Je crois que vous vous faites de grandes illusions sur les chiffres que peuvent atteindre les tableaux de “maîtres” »… Il cite à titre d’exemple des estimations d’œuvres de Besnard et Desbois. « En tout, j’ai retiré de Signac, Rysselberghe, Cross, Mlle Cousturier et Desbois, 185 fr. Et j’ai marchandé tant que j’ai pu »… Il raconte un malentendu avec Albert Besnard, et les difficultés pour placer le Carrière et un Milcendeau. « Savez-vous l’adresse de Pissarro fils. Je voudrais lui dire qui a gagné la toile et le pastel de son père »… On joint 5 lettres ou cartes de divers à Luce, dont une l.a.s. d’Henry Oulevay