Paris 5 septembre 1892, à Gabriel Vicaire, à Ambérieu (Ain) ; 1 p. obl. in-12, adresse (carte postale, mouill.). "Merci. C’est ça, pense à moi quand pourras. En attendant donne moi de temps en temps de tes nouvelles, et envoie moi des vers. Très beaux ceux sur la prise de voile. Dans quelle sorte de livre penses tu mettre ce poème ? R. m’écrit. Lettre bien d’ailleurs. (Déchire ceci). Je ne compte plus rester éternellement ici mais j’en ai bien encore pour une 15e de jours au bas mot. Je travaille terriblement : au petit bravo, m’sieu", etc.