Estimation :
1 500 € - 2 000 €
Vendu:
1 620 €
Détails du lot
Arthur Hubbard (1827-1882)
Fusain, estompe et rehauts de gouache blanche,
signé de l'initiale 'N.' et numéroté 99 en bas à droite
On y joint les portraits-charges de Lefrançois, Panthéon Nadar 163 et d'Adolphe Pierre Leleux (1812-1891.
Ensemble de trois dessins
Sans cadres
Commentaire :
Arthur Hubbard
Né à Saint-Jean-de-Braye (Loiret).
Avocat au barreau de Paris.
Il a été condamné dans l'affaire du complot de l'Opéra-Comique. Il reprend après l'amnistie de 1859 l'exercice de sa profession. Collaborateur au journal Le Réveil à partir de 1868. Conseiller d'Etat mais pas élu par l'Assemblée Nationale lors de la réorganisation du Conseil d'Etat en 1877.
Sources : Vapereau page 922.
Adolphe Pierre Leleux
Né à Paris.
Peintre d'histoire, de genre et graveur.
Tout au long de sa carrière, il peint des sujets d'inspiration bretonne. En 1844, il collabore à l'illustration de la Bretagne ancienne et moderne de Pitre Chevalier, du Foyer breton d'Emile Souvestre et aborde les sujets historiques pour l'illustration de Bretagne et Vendée. Il associe habilement le sujet paysan au pittoresque. Il n'a pas eu de maître pour la peinture et a été l'élève de Sixdeniens pour la gravure. Expose au Salon à partir de 1835. Médaillé en 1842, 1843, 1848. Il a peint des sujets de Bretagne, d'Algérie et des vues des Pyrénées. On lui doit aussi des scènes de la Révolution de 1848. Chevalier de la Légion d'honneur en 1855.
Sources : Bénézit, 1960, page 493 tome 5.
Né à Saint-Jean-de-Braye (Loiret).
Avocat au barreau de Paris.
Il a été condamné dans l'affaire du complot de l'Opéra-Comique. Il reprend après l'amnistie de 1859 l'exercice de sa profession. Collaborateur au journal Le Réveil à partir de 1868. Conseiller d'Etat mais pas élu par l'Assemblée Nationale lors de la réorganisation du Conseil d'Etat en 1877.
Sources : Vapereau page 922.
Adolphe Pierre Leleux
Né à Paris.
Peintre d'histoire, de genre et graveur.
Tout au long de sa carrière, il peint des sujets d'inspiration bretonne. En 1844, il collabore à l'illustration de la Bretagne ancienne et moderne de Pitre Chevalier, du Foyer breton d'Emile Souvestre et aborde les sujets historiques pour l'illustration de Bretagne et Vendée. Il associe habilement le sujet paysan au pittoresque. Il n'a pas eu de maître pour la peinture et a été l'élève de Sixdeniens pour la gravure. Expose au Salon à partir de 1835. Médaillé en 1842, 1843, 1848. Il a peint des sujets de Bretagne, d'Algérie et des vues des Pyrénées. On lui doit aussi des scènes de la Révolution de 1848. Chevalier de la Légion d'honneur en 1855.
Sources : Bénézit, 1960, page 493 tome 5.
