Eugène DELACROIX. L.A.S., 2 avril 1862, [à Mme Buloz] ; 1 page et demie in?8. C’est avec empressement qu’il s’associe à l’hommage rendu à Gustave Planche par ses amis : « Je me place au nombre de ceux qui ont eu avec lui les rapports les plus sympathiques ; jamais sa chaleureuse amitié ne m’a fait défaut dans ma carrière et j’éprouve plus que jamais combien ses pareils sont rares, je veux dire ceux qui servent leurs amis sans toutes sortes de petites restrictions qui ôtent le prix du service. Monsieur Buloz à qui j’ai aussi tant de raisons d’être reconnaissant, avait trouvé en lui, avec son rare talent, un cœur véritablement dévoué ». Il la prie donc de joindre son offrande à celles de ses amis…