Eugène DELACROIX. L.A.S., 21 février [1857], au violoncelliste Alexandre Batta ; 34 page in?8. La maladie le force à ne plus quitter sa chambre depuis six semaines, et c’est avec chagrin qu’il le remercie de son aimable souvenir : « je vais mieux mais je ne sortirai pas de quelque temps surtout le soir. Je suis d’autant plus fâché de ce contretemps que c’était une occasion de vous revoir quelques moments. Mais je suis obligé, dans ce moment même, de m’interdire de parler »…