PIERRE BONNARD. L.A.S., Le Cannet 12 janvier [1943], à Frédéric Luce ; 1 page obl. in-8 à l’encre violette, adresse (carte postale). « Il y a en effet bien longtemp qu’on ne s’était pas écrit mais on pense tout de même aux vieux amis. Tu dois te trouver bien seul dans l’appartemen de tes parents comme moi dans ma maison du Cannet. – J’ai été assez malade en Décembre et maintenant c’est la convalescence. Les grandes promenades me manquent un peu, l’hiver est plutôt humide. Je travaille un peu à des intérieurs mais je n’ai pas le courage des natures mortes pour lesquelles il faut une grande envie de peindre. Si tu en fais c’est que tu es en forme »…